Pas très intéressé par le monde de la peinture, pendant ma jeunesse je remplissais des pages avec des lignes qui ne voulaient rien représenter sauf, peut-être, un état d’esprit d’un élève qui ne voulait pas faire attention à ce que racontait le prof.
Je m’appelle Amine Aboulamine.
Il m’a suffit, il y a quatre ans, de voir une scène à la télé où un samouraï peint un oiseau avec quelques traits de pinceau, pour changer ma vie.
Après un peu de recherche sur le sujet de la peinture chinoise et japonaise, je suis tombé sur les paysages peints par les grands maitres de la dynastie SONG, Guo Hsi et Fan kuan, et du japon, Sesshu Toyo, entre autres. C’est là où j’ai décidé d’apprendre la peinture de paysage ou comme on l’appelle en Chine « la peinture de la montagne et de l’eau (山水画)».
Ainsi fut la naissance de Céng Mò,
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